Toujours en phase avec mes moments de silence et d’absences, je fais une apparition ici, aujourd’hui parmi vous. Je fuis de plus en plus le monde grouillant, qui bouge et file sans que les gens ne prennent le temps de savourer la vie en l’ingurgitant goulûment sans en percevoir les saveurs qu’elles soient douces ou […]
Archives de Tag: vie
Le jupon d’Idéelle
Sous le jupon d’Idéelle, il s’en cache des choses mystérieuses !
Sous son jupon … .. Sous son jupon se cachait le secretD’un monde d’illusions et de passionsSous son jupon se cachait le secret De la Vie, de toutes ses unions ! .. *** Idéelle, le 15 août 2017 *** ..
Le Poème de la semaine n° 15
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Le Poème de la semaine n° 15
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IV
POINTS DE VUE
A
Une thèse, vue de l’esprit, est vraie.
Jusqu’au moment où
Une autre démontre le contraire !
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B
Qui a dit ?
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Le climatologue analyse :
La bise humide dite noire, pour la vie souffle froid mouillé
La bise dite franche, pour la vie souffle gentillet
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L’infatigable marcheur rêve :
Si le chemin est court, pour la vie …
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La suite en suivant le lien suivant :
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Les Tamalous, Alexandra Pasquer-Schurder
LES TAMALOUS
Alexandra Pasquer-Schurder
Roman
Les Tamalous
Changeront-elles de vie à 70 ans ?
Fortuna éditions
252 pages – Septembre 2015 – Prix 16.90 €
ISBN 978-2-87591-073-8
http://editionsfortuna.blogspot.fr/
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En quatrième de couverture, l’éditeur nous indique ce qui suit :
Trois septuagénaires un peu brinquebalantes ont des maux de leur âge mais aussi des envies. Yvettes, vraie midinette, rêve d’un nouvel amour à Paris. Alicia, obsédée par l’argent, ne se sent bien qu’en représentation. Angèle, gravement malade, joue sa survie en Bretagne.
L’arrivée de Ferdinand, un lointain amant richissime en mal de paternité, les confronte à un choix : accepteront-elles de lui créer un héritier ? De remettre en question leur existence passée ?
C’est l’histoire des Tamalous, des destins croisés du troisième âge, porteurs de vie et d’espoir !
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http://club.editionsfortuna.net/index.php/editions-fortuna/les-livres-fortuna/les-tamalous-detail
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Ce que j’en pense :
J’ai bien aimé ce livre qui se lit vite en raison de l’écriture qui est très alerte. Les phrases sont courtes et rapides. Le style est aussi alerte que l’auteure. Les mots sautent comme un cabri, ce que j’ai vu faire à l’auteure sur la scène du Salon du livre de Mennecy en février 2017.
Les portraits des personnages sont bien campés. On sent une longue étude et d’attention de l’être humain. Normal car l’auteure travaille dans la communication.
Le ton n’est pas vraiment décalé. L’on sent l’étude du comportement humain parfois déconcertant ou féroce, mais souvent proche du réel. Il est aussi être léger et émouvant.
La question que pose Alexandra est de savoir si l’on est vieux à 70 ans ? Sujet au combien d’actualités ! L’auteure parle de cet âge charnière dans une intrigue qui est une intrusion dans le monde des seniors. Elle n’hésite pas à aborder des thèmes autour de la nutrition, du respect des prescriptions, du soutien de l’entourage, de la place des femmes et des aînés dans la société et de la transmission dans le cadre de l’héritage.
Trois portraits de femmes commencent le livre : celui d’Yvette, celui d’Angèle et celui d’Alicia. Trois vies différentes mais réussies. Puis, un portrait d’un homme, Ferdinand qui a un souci : à qui transmettre sa fortune puisque officiellement il n’a pas d’enfant. Il se met en quête d’un héritier, avec des méthodes particulières pour ne pas être dérangeantes.
L’auteure est entrée dans les détails. Les détails de la vie de chacune des femmes : les émois d’une femme amoureuse avec ses désirs, la tristesse face à la maladie, la vie des femmes actives, des femmes au foyer, des femmes qui font attention à elles ou pas, des soucis de santé.
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Quelques mots sur l’auteure
Alexandra Pasquer-Schurder est née au Canada en 1968. Elle a appris à lire et à écrire en faisant le tour du monde avec ses parents. Elle a été formée au CELSA en Communication et à Paris I Sorbonne en Science politique, avant de devenir journaliste de presse écrite. Aujourd’hui, elle dirige la communication d’un groupe spécialisé dans le logement social.
Alexandra est d’une grande vitalité et a foi dans l’optimiste. Elle a un grand sens de l’observation et de capacité d’écoute. Elle est plus que persuadée que la vie vaut la peine d’être vécue et que les péripéties humaines sont les grains de beauté de l’existence, dont les envies et les espoirs sont vivants.
Les lecteurs seront surpris en lisant ce livre qui est une contribution au début sur la silver économy et la place des aînés dans la société.
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Pour en savoir plus sur Alexandra Pasquer-Schurder, cliquer sur :
https://www.les-tamalous.com/
et aussi sur
https://librebonimenteur.net/2017/02/14/jl-a-lecoute-de-alexandra-pasquer-schurder-romanciere/
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Tout sur mes livres :
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Jean-Louis RIGUET 17 mars 2017
Sociétaire de la Société des Gens de Lettres et Membre de la Maison de l’écrivain et de la Littérature
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Louis_Riguet
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N’être que mélodie, Idéelle
.. Sous ses doigts n’être que Mélodie, Murmurer qu’aimer est le secret de la Vie, Au bruit de nos peaux qui se froissent Oublier que le Bonheur aussi angoisse …. . . *** Idéelle, le 23 janvier 2017 *** . .
Souris à la vie
Souris à la vie
Mon mouchoir
Est tout humide
Tes larmes
L’ont mouillé à verse
La joie
S’abat dans ton cœur
Tes yeux
N’y résistent pas
La pluie
Te rend si belle
Les perles d’eau
Inondent ton visage
Sèche
Tes larmes
Souris
A la vie
Souris
A l’amour
Souris
A l’amour de la vie
© 25 août 2016 – Jean-Louis Riguet
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Jean-Louis RIGUET 25 août 2016
Sociétaire de la Société des Gens de Lettres et Membre de la Maison de l’Ecrivain et de la Littérature
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La nuit, le jour
La nuit, le jour
Animations endormies
La pénombre déploie ses ailes
Le soleil rend les armes
Ses ultimes armes
Le dernier rayon jaune
Illumine encore
De ses feux condamnés
Petit à petit
Lentement
L’ombre étend
Ses bras sombres
La nuit sinistre
Prend place
Occupe le terrain
Inquiétante
De maléfices
L’endormissement
De la vie
Annonce
Prometteuse
Des rêves bénéfiques
Demain
Le jour reviendra
Narguant la nuit
La vie
Gagnante
Reprendra ses droits
© 24 août 2016 – Jean-Louis Riguet
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Jean-Louis RIGUET 24 août 2016
Sociétaire de la Société des Gens de Lettres et Membre de la Maison de l’Ecrivain et de la Littérature
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L’éden d’ailleurs
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L’éden d’ailleurs
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Je vois le ciel bleu et le soleil
Je vois la terre et sa noirceur
Je vois l’espérance et le bonheur
Je vois l’adversité et le malheur
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Je me perds dans mes pensées secrètes
Labyrinthe clos par inadvertance
Dédale improbable de mes sentiers
Perdus dans les méandres du cerveau
Au détour d’un virage trop abrupt
Je dérape sur l’asphalte de mes idées
Dans la confusion de mes problématiques
Inconnues mais sont-elles réelles ?
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Je glisse sur la pente de mes vertiges
Je grimpe sur la côte de mes désirs
Je rampe comme un ver
À la recherche d’un peu de terre humide
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Mais pourquoi ce désordre ?
Ce galimatias de désirs contraires ?
Qu’ai-je donc fait pour me déchirer ?
Rampe esclave de mon cerveau
Nettoie la terre de ton corps sale
Crie ton mal être désarmant
Rejoint les occupants de la sénilité
Dans des disharmonies dégénératives
Jusqu’à la fin de ton corps sans vie
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Regarde le monde te sourit
La vie te fait un signe d’espoir
Tu n’as pas tout perdu
Tes pensées t’enrichissent d’un rien
Ne désespère pas !
Tu seras heureux là-bas
Au coin du grand pré vert
Devant la rivière de perles
Les filles jouent de la cithare
Une chorale égaie la pelouse
De jeunes enfants apportent des fruits
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La vie est belle dans cet éden d’ailleurs
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© 19 juillet 2016 – Jean-Louis Riguet
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Jean-Louis RIGUET 19 juillet 2016
Sociétaire de la Société des Gens de Lettres et Membre de la Maison de l’Ecrivain et de la Littérature
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L’avancée folle
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Hommage et solidarité aux victimes – Je suis Nice
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L’avancée folle
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La côte d’Azur est dans le noir-rouge
Pourtant la journée fût belle et riante
Les feux devaient se mettre en artifice
La foule se pressait gaie et confiante
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Soudain, un mastodonte blanc avance
Franchit la barrière indolente
Bouscule sur son passage ce qui le freine
Augmente son infernale roulance
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L’avancée meurtrière se zigue-zague
Heurtant toute vie sur son chemin de mort
Laissant au sol un drame immense
De corps innocents disloqués
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Les cris envahissent la nuit
Les courses apeurées se révèlent effrénées
Les sirènes hurlent à la mort
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Pour certains la vie s’arrête
Pour d’autres les blessures commencent
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La ville est en pleurs et en colère
La nation est en larmes de courroux
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© 16 juillet 2016 – Jean-Louis Riguet
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Jean-Louis RIGUET 16 juillet 2016
Sociétaire de la Société des Gens de Lettres et Membre de la Maison de l’Ecrivain et de la Littérature
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Sombres mirages
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Sombres mirages
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La triste nuit s’étire lugubrement
Dans le ciel déchaîné, courroucé, l’orage
De tous ses feux étincelants fait rage
Sous un arbre réfugiés une femme et son enfant
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Propulsant des papillons noirs à l’infini
La foudre abat son insoutenable déchirement
Déverse son soleil noir de mélancolie
Sur un petit être de lumière soudain sans vie
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Sombres mirages
Désormais seule la maman dépérit
De l’être disparu se languit
À jamais enseveli
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Dans cette baraque en bois
Délabrée et sans vie
Aux planches vermoulues et racornies
Sa tristesse insondable lui tient compagnie
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Désespoir au creux de la nuit maussade
Et ce n’est pas une passade
L’insurmontable chagrin se régénère
Dans une stérile ivresse insupportable
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Le spectre de ses pensées morbides
Fertilise de venin les terres arides
De sa profonde blessure inconsolable
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La triste mélodie de la mélopée
Nourrit son cœur en étoiles mortes
Dans une ultime agonie d’angoisse
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© 11 juin 2016 – Jean-Louis Riguet
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Jean-Louis RIGUET 13 juillet 2016
Sociétaire de la Société des Gens de Lettres et Membre de la Maison de l’Ecrivain et de la Littérature
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Louis_Riguet
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