Ondes intime, un recueil d’amour de rivières Loire et Loiret
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Ondes intimes
Recueil de poésies sur la rivière Loiret et le fleuve Loire
Nouveau recueil de poésies
de Jean-Louis Riguet
Présentation du livre :
Après Pétales Éclectiques et Coquecigrues par mégarde, l’auteur a entrepris un recueil sur un fleuve La Loire et une rivière Le Loiret qui ont un rapport particulier entre eux. L’auteur évoque ses ressentis sur ces relations presqu’incestueuses à travers des poèmes et des haïkus.
« La lumière de Loire ensorcelle
Elle s’amuse de connivences multiples
Dans les eaux changeantes au gré des saisons
Elle va son cours sûre d’elle »
« L’eau est immobile, elle coule
La barque de mes rêves est immobile
Le temps passe à travers
L’espace d’un temps éphémère »
Ondes intimes, un recueil d’amour de rivières.
Couverture du recueil de poésies sur la rivière Loiret et le fleuve Loire
Présentation de l’auteur
Jean-Louis Riguet écriveur auteur du recueil de poésies Ondes Intimes sur la rivière Loiret et le fleuve Loire
Membre de la Société des Gens de Lettres, Jean-Louis Riguet est un autodidacte qui a fait carrière, dès ses quinze ans, dans le Notariat, avant de prendre une retraite 53 ans plus tard.
Auteur de plusieurs ouvrages, essai, romans, docu-fictions, poésies, son œuvre a été primée à plusieurs reprises notamment au Salon du Livre de Mazamet en 2015. Il participe à de nombreuses manifestations littéraires et a été notamment l’invité d’honneur au Festival Populaire de Poésie Nue à Goussainville en 2017.
Prem’Edit, édition nouvelle génération à compte d’éditeur
Prem’Edit a décidé de laisser le choix des publications à un comité de lecture citoyen composé de 120 personnes. En cinq ans d’existence, ce petit éditeur a publié une soixantaine de livres, dont certains ont connu le succès comme « Alicia n’est pas rentrée » d’Hervé Guiliénine. Infos sur le site www.premedit.net
Infos pratiques
Le Loiret et la Loire mis en poème dans ce recueil de Jean-Louis Riguet
Envoi de visuels ou du livre, coordonnées de l’auteur sur demande à contact@premedit.net
Interview de Jean-Louis Riguet
Comment vous est venue l’idée de ce livre et l’envie de l’écrire ?
Quand je suis arrivé à Orléans, trente ans en arrière, j’ai été fasciné par ce large ruban qui coupait la ville en deux. A l’époque, mais ce n’est pas si loin, les vieilles coutumes avaient encore la vie dure. Il y avait les gens du nord et les gens du sud, la ligne de démarcation était la Loire. Celle-ci est bien réelle, notamment pour les nuages qui envahissent l’un ou l’autre bord. Ma famille s’est installée au sud, à Olivet, de l’autre côté du Loiret. Depuis, je n’ai pas quitté le sud, je suis juste un peu plus à l’ouest, à Saint-Hilaire-Saint-Mesmin. Pour me rendre à mon étude, je traversais tous les jours, deux fois par jour, le Loiret puis la Loire avec des tonalités changeantes au gré des saisons.
C’est l’amour qui l’a emporté
On ne vit pas impunément une aussi longue période sans que naissent des sentiments. Pour moi, c’est l’amour qui l’a emporté, l’amour des deux éléments d’eau, avec cette interrogation intime sur leur filiation alors que tout les oppose et que tout les rapproche. Puisque je ressentais une aussi vive émotion, pourquoi ne pas la traduire dans un livre ? C’est alors que naquit l’idée de poèmes et d’haïkus sur ce fleuve et cette rivière.
Comment vous est venue l’idée de le publier ?
L’idée de publier arrive par mon esprit de contradiction. Toute ma vie professionnelle, qui a duré 53 ans, j’ai écrit, écrit et encore écrit des actes et des documents, des lettres, des rapports, des études qui ont fini dans des caches. Pour les actes, le minutier les a recueillis. Pour les autres documents, ils dorment dans des dossiers poussiéreux, des tiroirs coincés ou des chemises fatiguées. Je me suis alors promis de continuer à écrire, à écrire pour les autres comme le furent mes productions antérieures mais aussi qu’elles puissent être lues au vu et au su de tous en opposition avec le secret précédent.
Dès lors, le livre est un support adéquat et j’en suis heureux.
Dans la même démarche, je tiens un blog librebonimenteur.net qui s’intéresse aux publications de livres et aux travaux des artistes en général avec une rubrique JL à l’écoute de… à destination des auteurs et des artistes.
Comment avez-vous connu Prem’Edit et pourquoi avez-vous choisi cet éditeur original ?
C’est Richard Taillefer, un ami poète de talent, qui m’en a parlé. Nous nous connaissions depuis quelques années auparavant. Il a publié un premier recueil chez Prem’Edit et en a été satisfait. Quand s’est posée la question d’un éditeur pour mon premier recueil de poésie Pétales Eclectiques, je n’ai pas hésité. Je me suis tourné naturellement vers cet éditeur original qui a la spécificité d’avoir un comité de lecture étoffé de plus de cent lecteurs qui fait une première sélection avant d’affronter un comité plus restreint qui tranche définitivement.
Pour mon deuxième recueil Coquecigrues par mégarde, le chemin était tout tracé et pour le troisième Ondes Intimes il s’agissait d’un boulevard.
Qui êtes-vous Jean-Louis Riguet ? Pourquoi écrivez-vous ?
En réalité, je ne sais pas répondre à ces questions. D’abord, je suis autodidacte sans avoir eu le bonheur de poursuivre des études ; le BEPC est mon seul diplôme officiel non professionnel. Du coup, je ne sais pas trop qui je suis. Je n’ai suivi aucune étude littéraire qui puisse devenir une référence.
Milieu modeste
Je viens d’un milieu modeste, d’artisan tailleur d’habit, fabriqué à la force des poignets et des méninges. Le travail acharné m’a permis de passer des examens et d’obtenir des diplômes professionnels qui m’ont propulsé jusqu’à un métier jugé prestigieux par beaucoup, notaire. Certes, j’ai finalement enseigné pendant quatre années au Centre Notarial de Formation Professionnelle de Paris pour les étudiants en Diplôme Supérieur du Notariat.
Paradoxalement, j’ai évolué une grande partie de ma vie dans un milieu pour lequel je n’étais pas programmé, que je ne connaissais pas, dans lequel je ne me suis toujours pas intégré. Je ne sais plus trop où je suis, ni dans l’avant, ni dans le présent, alors l’avenir… Parfois, je me suis senti déraciné. Ni dans un monde, ni dans un autre.
Je cherche peut-être une solution
Peut-être qu’à travers l’écriture, je cherche une solution, une explication, une clarification, à moins qu’il ne s’agisse que d’une fuite en avant pour ne pas me poser de questions, celle par exemple de savoir si l’on peut vivre sereinement dans un monde étranger à celui de sa naissance sans renier ses origines. A l’inverse, peut-on revenir dans son monde d’origine sans oublier le passage dans une autre sphère ?
Comment faire comprendre que l’on évolue dans un univers dont on ignore les codes avec les références d’un autre macrocosme sans pour autant trahir ses origines ? C’est la quadrature du cercle.
Je suis un petit gars perdu dans cette immensité nébuleuse, tiraillé entre deux semences qui ont des difficultés à pousser, ballotté de l’une à l’autre, ce qui me conduit à écrire dans différents genres : la poésie, les romans, les docu-fictions. Cette alternance peut être perçue comme une instabilité.
Je pense être stable dans mon inconfortable balancement.
Mais je serai présent lors de cette grande manifestation pour
une dédicace privée
des RECITS HISTORIQUES DE L’ORLEANAIS
Val de Loire, Beauce, Sologne
les samedi 09 septembre et
dimanche 10 septembre 2017
sur le stand des Editions du Jeu de l’Oie
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A L’HONNEUR A LA FÊTE DE LA SANGE 2017
LE PAYS BASQUE
Les 09 et 10 septembre prochains nous nous retrouverons, comme chaque année, dans le parc départemental du château de Sully sur Loire à l’occasion de la fête de la Sange qui fêtera son 20ème anniversaire.
Le comité d’organisation avec ses bénévoles, en partenariat avec la Fédération de chasse du Loiret, la Fédération de pêche du Loiret et nos nombreux partenaires ont décidé de mettre à l’honneur le Pays Basque.
La fête de la Sange est devenue une manifestation incontournable pour…
Le Molière de la meilleure comédienne dans un spectacle privé pour Catherine Frot pour son rôle dans Fleur de Cactus mis en scène par Michel Fau.
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Avec une Mise en Scène de Michel FAU
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FLEUR DE CACTUS
Ce qu’en dit le programme :
Mensonges, quiproquos et portes qui claquent, Fleur de cactus est une comédie dans la plus pure tradition du théâtre de boulevard. Ce vaudeville de 1964 signé Barillet et Gredy qui eut un phénoménal succès auprès du public, pimente avec piquant et une bonne dose de dérision, le portrait de nos névroses et de nos contradictions.
Cette mise en abyme décalée des travers de notre société, véritable partition musicale où un esprit débridé alterne avec une émotion raffinée, fut portée par de grandes interprètes comme Sophie Desmarets, Lauren Bacall et Ingrid Bergman.
Aujourd’hui, Catherine Frot, qui «possède la fantaisie mélancolique, la virtuosité burlesque et le décalage poétique pour incarner ce répertoire», comme le dit son metteur en scène, prend brillamment leur relève et réinvente le rôle. Michel Fau a choisi de situer la pièce à l’époque de sa création, pour garder une esthétique sophistiquée comme dans un film de Jacques Tati, et tout le charme acidulé des films de Blake Edwards. Une fois de plus, Fleur de cactus rencontre un vif succès. Cette fleur a été l’évènement théâtral de la saison dernière.
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Les interprètes avec le lien pour mieux les connaître :
Julien est un dentiste qui ne fait que courir après les jupons.
Stéphane est une secrétaire dévouée à son arracheur de dents. Elle fuit les hommes.
Antonia, une jeune bimbo qui a fait tourner la tête de Julien, veut l’épouser.
C’est le début d’une série de quiproquos, avec des inventions qui s’ajoutent aux inventions.
Pourtant, en secret bien gardé puisqu’ils n’osent pas se l’avouer à eux-mêmes, Julien et Stéphane s’aiment.
Une comédie de boulevard superbement jouée qui n’a pas vieillie car elle a été créée en 1964 avec Sophie Desmarets et Jean Poiret.
Michel Fau étale ses couleurs multicolores empreintes de jus de citron.
Catherine Frot est sublime et nous dévoile tous ses talents, son art subtil, son jeu parfait et sa simplicité.
Un vaudeville pour un mariage qui nous emmène loin, très haut, qui nous promène entre l’audace et la soumission, entre la folie légère et le burlesque.
Pendant plus de deux heures, on est avec eux sur scène, le temps passe à une vitesse vertigineuse. On s’amuse, on rit, on applaudit.
Bravo aux interprètes qui donnent tout d’eux-mêmes pour le plaisir des spectateurs.
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Rappelons que le CADO est subventionné par la Ville d’Orléans et le Département du Loiret.
éditions du Masque d’Or – Collection la France en guerre
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Les jumeaux sont issus d’une famille de négociants à Orléans pendant la guerre de 1870. L’un part à Paris pour un stage d’agent de change, l’autre, souhaitant être avocat, est incorporé dans les Mobiles. La guerre survient.
Une terrible bataille (celle de Coulmiers en Loiret) se déroule avec l’armée de la Loire et l’un des jumeaux. L’autre subit le siège de Paris par l’armée prussienne.
Comment les jumeaux réagiront ils à cause des phénomènes relationnels de la gémellité ? Survivront-ils ?
Un docu-fiction historique est le cadre de ces échanges particuliers.
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123 pages – ISBN 978-2-36525-053-5 –
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Les RéCITS HISTORIQUES DE L’ORLéANAIS
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Il y a 7 récits historiques
La Butte des élus (Mézières-lez-Cléry)
A quelle époque remonte la coutume
qu’observent encore les jeunes femmes,
qui escaladent la Butte des Elus, pour avoir un enfant ?
La Grotte du dragon (La Chapelle Saint-Mesmin et Saint-Pryvé-Saint-Mesmin)
D’où provient le nom de la grotte du dragon
de la Chapelle-Saint-Mesmin ?
Le Pigeonnier (Boigny-sur-Bionne)
Savez-vous que le roi Louis VII épousa en deuxièmes noces Constance de Castille
à la Commanderie de Boigny-sur-Bionne,
après son mariage et son divorce calamiteux
avec Aliénor d’Aquitaine ?
Les Jeanne (Orléans et partout en France)
De toutes les légendes qui courent
sur Jeanne d’Arc,
laquelle est la plus vraisemblable ?
La Pierre du Duc (Saint-Hilaire-Saint-Mesmin)
Connaît-on vraiment les circonstances
dans lesquelles le duc de Guise
trouva la mort à Saint-Hilaire-Saint-Mesmin,
pendant les guerres de Religion ?
Lapin le balafré, chauffeur (Orgères-en-Beauce)
La terrible réputation qui poursuit
les chauffeurs d’Orgères-en-Beauce
est-elle méritée ?
Le Vaillant général (Loigny-la-Bataille)
Se souvient-on encore des tragiques événements
de la guerre de 1870
qui se déroulèrent en Beauce ?
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C’est à ces questions que ces « Récits historiques de l’Orléanais » tentent de répondre.
Par cette première journée d’automne, sous un soleil qu’avait envié août, après un agréable et délicieux repas dans une ancienne guinguette des bords du Loiret, une envie de faire marcher mes pieds me prend. Sans coup férir, après avoir passé le Château de la Fontaine, je décide de garer mon véhicule sur un parking posé là pour ça.
Puis, je me mets à marcher le long de la route qui mène au pont sur le Loiret, près du Moulin du Bac, le traverse au sec, et me retrouve nez à nez avec des tronçons d’arbres, des anciens sûrement vu la largeur des troncs, posés dans un ordre qui parait désordonné mais qui en fait l’est parfaitement. Les plus hauts servent de sièges et les plus bas de tables.
Je me demande qui a pu avoir cette idée folle d’organiser toutes ces coupes d’arbres comme le sont les tables d’un café, sans alignement, mais en respectant néanmoins un concept. Au fond, un peu plus loin, j’aperçois une cabane en bois, fermée, mais accueillante. Sur un côté, une pancarte informe les curieux : L’EPHEMERE CAFE.
Pour éphémère, ce café l’est, en tout cas aujourd’hui, à ce moment-là. Il ne fonctionne que l’été, certains jours, par beaux temps. Son ouverture est accompagnée d’un concert de sourires et de bonne humeur diffusés par des jupes virevoltantes. Enfin … quand ce n’est pas un jean … mais le haut reste affriolant.
Que ne doit-on pouvoir faire dans cet endroit, magnifique, au bord du Loiret ? Se reposer en sirotant une boisson fraiche ou en attendant le refroissement d’un thé ou d’un café. Ou encore en patientant le retour d’une barque que d’intrépides mariniers ont conduite sur les eaux calmes de la rivière.
Pour ma part, j’y viendrais bien écouter quelques vers de poésie, quelques lignes de haïkus, ou encore entendre la lecture d’une nouvelle ou d’un court récit. Et pourquoi pas ne pas rêver un peu : une conférence ! Pourquoi pas en effet au milieu de cette symphonie de calme et de beauté !
Je tairais le nom des deux dames qui ont eu l’idée de cette aventure paisible et plaisante et l’ont mise à l’épreuve du temps. Mais qu’elles en soient remerciées ! C’est une bonne idée.
Souhaitons qu’il y ait d’autres étés au bord du Loiret.
Sociétaire de la Société des Gens de Lettres, Membre du Bottin International des Professionnels du Livre et de la Maison de l’Ecrivain et de la Littérature
La République du Centre du lundi 15 septembre 2014 publie un article de Philippe Renaud sous le titre
Le projet de réforme des professions réglementées concerne 53 études dans le département
Les notaires inquiets pour leur devenir
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Philippe Renaud précise qu’aucune mesure n’est encore arrêtée, mais les officiers ministériels se mobilisent pour éviter que le projet de loi sur la croissance ne les fasse disparaître.
De quoi s’agit-il ? Voici les quatre mesures rédoutées par les notaires
1. Liberté d’installation pour tout notaire fraîchement diplômé.
Actuellement, les notaires doivent succéder à un notaire prenant sa retraite et racheter l’étude via un droit de représentation. Si les notaires ont le choix de s’établir où ils veulent, le risque est grand d’assister à une désertification des zones rurales au profit des villes, remettant en cause le principe du libre accès au droit.
2. Ouverture du capital des offices
Actuellement, un notaire doit posséder la moitié du capital de son entreprise. La réforme prévoit d’ouvrir ce capital à des groupes financiers.
3. Diminution du chiffre d’affaires des études
Cette diminution, de l’ordre de 20 %, correspond, selon Benoit Malon, à la marge réalisée par les notaires. Une telle mesure risquerait de remettre en cause la viabilité des études, dans un contexte économique déjà difficile lié à la crise de l’immobilier.
4. Ouverture à d’autres professions de certains actes
Les avocats, les banquiers, les assureurs pourraient rédiger des actes soumis à publicité foncière. Actuellement, les notaires, nommés par le Garde des Sceaux, détiennent seuls ce pouvoir, au nom de la délégation de l’État dont ils bénéficient.
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Dans cet article, Maître Benoit MALON Président de la Chambre Départementale des Notaires du Loiret annonce les effets futurs de la loi :
Fermeture des études d’ici à un.
Mise au chômage de 414 collaborateurs.
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Rappelons que la plus grosse partie des frais d’actes versés à une étude de notaire (presque 90 %) sont perçus pour le compte de l’Etat et que la meilleure manière de faire baisser le coût d’un acte est de baisser la fiscalité.
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L’objectif est clairement affiché : rendre des entreprises viables complètement obsolètes, favoriser l’insécurité du droit, transférer le savoir et le savoir-faire du notaire vers d’autres professions, favoriser les nantis qui pourront se « payer » un notaire et enterrer davantage les petits qui n’auront pas même les moyens d’avoir un défenseur. En ce moment, le notaire a l’obligation de traiter tous les dossiers, petits ou gros. Après, seuls les dossiers rentables seront traités, équilibre financier oblige.
Non seulement, il y a des « sans-dents » mais il va y avoir des « sans-droit ».
La justice va laisser la place aux injustices !
Adieu la paix des familles ! Adieu le droit de la paix !
La nouvelle de Daniel Keyes, mise en scène par Anne Kessler, a été adaptée par Gérald Sibleyras.
Dite par Grégory Gadebois, c’est une merveille.
C’est tout à la fois, triste, parfois gai car on sourit, voire on rit, sublime, beau, bouleversant. L’émotion est reine.
De quoi parle-t-on dans ce laboratoire ? D’abord, on est espionné par des écrans qui nous font voir sous d’autres angles, le personnage, massif, lourd, immobile, assis dans son fauteuil d’handicapé. Tout est dépouillé.
Grégory est Charlie, un simplet, un innocent, on disait autrefois l’idiot du village.
La souris, Algernon, a le même QI que lui après avoir subi une opération pour la rendre plus intelligente.
Deux chirurgiens-chercheurs font la même opération à Charlie qui devient de plus en plus intelligent.
Bientôt, la souris meurt après avoir décliné progressivement, perdant son intelligence artificielle.
Puis, Charlie le savant, du haut de son intelligence, se met à redescendre, il oublie tout son savoir, il redevient Charlie.
Charlie reste au même niveau qu’au départ, simplet, bon, généreux, enfin … l’idiot du village.
C’est magnifique, triste et bouleversant. On en sort tout chose.
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Le dernier roman de Louis-Jean Teugir : Le Baron de la disette.
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