Moi, Hassan
HARKI
enrôlé, déraciné
Un roman “vrai” de Thierry ROLLET
Aux Editions du Masque d’Or
Collection La France en Guerre
. . ISBN : 978-2-36525-026-9 142 pages
Broché Prix : 19 € plus frais d’envoi .
Quatrième de Couverture :
“Je m’appelle Hassan Boulaïd” : ainsi débute, tout simplement, le récit du narrateur. Dès son adolescence, il va se retrouver engagé dans un terrible conflit sans nom.
Parce qu’il a pris le parti de la France en Algérie, parce que sa famille a souffert dès le début des exactions du FLN, Hassan va connaître les horreurs d’une guerre civile et surtout, le destin de ces combattants qu’on appelle les harkis.
De combats en représailles, du djebel aux Champs-Elysées, Hassan et les harkis vont représenter le pays et les idéaux qu’ils ont choisis.
Un loyalisme bien mal récompensé : quel sera le destin de Hassan et des siens ? Seront-ils récompensés par cette France qu’ils ont défendue, comme tant d’autres ? Seront-ils sauvés mais aussi indignement traités lors d’une errance de camp en camp ?
Un hommage aux harkis et une reconnaissance de leur tragédie, tels sont les thèmes de ce roman qui s’inspire de faits rigoureusement authentiques.
.
Thierry ROLLET nous relate l’histoire d’un homme, algérien, qui a été enrôlé dans l’armée française lors de la guerre d’Algérie.
Il est devenu harki, combattre pour la France contre ses racines. Une affreuse guerre civile dont il est victime.
Après avoir combattu avec vaillance, il a été déraciné, rapatrié en France : rapatrié d’Algérie comme on disait à l’époque. Il connaître alors les camps et les humiliations.
Thierry ROLLET nous fait ici un beau et triste portrait d’un loyalisme mal récompensé. A lire pour se souvenir !
Extrait du roman
Moi, Hassan, harki, enrôlé, déraciné Aux Éditions du Masque d’Or, mars 2013
lorsque je me remémore la période qui a immédiatement suivi mon retour à Ralem, je la revois comme une succession d’événements qui n’avaient plus rien à voir avec mon existence antérieure et qui, de ce fait, m’étourdissaient quelque peu. Mais je me devais de garder bonne contenance devant mes hommes. En effet, j’étais officiellement l’un des chefs de la harka de Ralem, le chef suprême étant, bien entendu, le lieutenant Ayrault et l’instructeur le sergent-chef Gerbier. Le soldat Borain y avait également été incorporé, mais se tenait à l’écart des harkis de Ralem, tout comme eux-mêmes le tenaient à l’écart, sans doute …
la suite sur : http://www.scribomasquedor.com/medias/files/extrait-de-moi-hassan-harki-1.pdf .
.
© Jean-Louis Riguet Juillet2014 Sociétaire de la Société des Gens de Lettres, Membre du Bottin International des Professionnels du Livre et de la Maison de l’Ecrivain et de la Littérature
Liens :
http://www.scribomasquedor.com/
http://www.riguetauteurlivres.com/
Add Comment
Vous devez vous connecter pour laisser un commentaire.