LIBELLE publie l’un de mes poèmes

L’écume

Le mensuel de poésie LIBELLE publie dans son numéro 303 de septembre 2018 l’un de mes poèmes

 

 

La revue LIBELLE publie le poème L’ECUME issu de mon recueil titré COQUECIGRUES par mégarde chez PREM’EDIT

 

 

 

 

COQUECIGRUES par mégarde

Poésie

Jean-Louis Riguet

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Éditeur : PREM’EDIT

ISBN : 9 791091 321686

122 pages – 14 €

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Quatrième de Couverture

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Cet animal étrange et imaginaire créé par François Rabelais dans son roman Gargantua, l’auteur le reprend à son compte pour titre de son deuxième recueil de poésie.

Bien qu’habitué à l’écriture longue comme les romans, l’auteur prend goût à la poésie en vers libres qui l’a conduit à ce recueil articulé auteur de trois thématiques : la nature, les sentiments et les actions qu’il a nommées tressautement.

L’auteur évoque les éléments, les catastrophes naturelles, l’amour, la haine, les animaux, la fête foraine, le temps avenir, présent, passé et autres sujets.

“Je suis un escroc des mots,

Un voleur de rimes

Un bandit du bon mot

Un receleur de propos”

 

Coquecigrues par Mégarde, un recueil léger, diversifié.

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PROLOGUE

 

Merci à François Rabelais qui a inventé ce mot fantasque « Coquecigrue » dans son roman Gargantua. Il envisageait alors que le royaume soit rendu à son roi, Grandgousier, à la venue des Coquecigrues, c’est-à-dire jamais ou quand les poules auront des dents.

La coquecigrue est cet animal imaginaire et burlesque tenant du coq, de la cigogne et de la grue. Elle est très friande de la ciguë, cette plante très toxique, grande ou petite, blanche ou aquatique. Vivant en colonie, ces oiseaux s’envolent dans le ciel à l’approche de l’homme et deviennent très vite invisibles.

De là penser que la coquecigrue s’apparente à un propos dénué de sens comme une baliverne, sornette ou autre billevesée, il n’y a qu’un pas à franchir pour dire qu’elle désigne une personne qui raconte des sottises ou des choses inutiles ou inexistantes.

Cette promenade m’a entraîné par erreur vers cet animal imaginaire et burlesque. Je l’ai, par mégarde, rencontré au détour d’une chimère, d’une absurdité.

Par inadvertance des vers en prose sont nés et je vous les livre comme ils sont venus en trois parties.

La première est intitulée NATURELLEMENT. Elle touche plutôt à cet ensemble de lois qui paraissent maintenir l’ordre des choses et des êtres, des caractères et des propriétés définissant les choses, sans intervention de l’homme. En quelque sorte, c’est naturel.

La deuxième se nomme SENTIMENTALEMENT. Elle évoque une connaissance plus ou moins claire donnée dans l’instant et cet état affectif complexe et durable lié à certaines émotions, tendances ou penchants. On y trouve de l’amour, de la haine, des sentiments.

La troisième est titrée TRESSAUTEMENT. Elle suppose un mouvement, une secousse, une action, une envie d’agir, un mouvement brusque et nerveux provoqués par une surprise ou une émotion vive. On peut y voir une allusion à des situations dramatiques ou émotionnelles.

J’ai pris beaucoup de plaisirs à travailler sur ce recueil et j’espère qu’il en donnera tout autant aux lecteurs qui liront ces chimères ou autres absurdités racontées par un animal imaginaire et burlesque.

Jean-Louis RIGUET

 

 

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© Jean-Louis RIGUET 11 octobre 2018

Sociétaire de la Société des Gens de Lettres

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Louis_Riguet

https://www.youtube.com/channel/UCcLyJcrYJkDfuM9zm6mfbCQ

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Parution : L’Automne 1870 en Beauce – Des familles en souffranceDECOUVRIR ICI

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