En pleine campagne électorale je vous invite à découvrir ou à redécouvrir mon roman de fiction Le Baron de la Disette qui justement se déroule lors d’une période électorale.
Ce roman de fiction, inspiré de faits réels, vous entraine dans une enquête qui permettra, au fil des pages, d’en savoir plus sur ce fameux Baron et pourquoi pas, vous prendre d’une certaine sympathie pour cet homme qui a eu une vie plutôt difficile.
Une intrigue intéressante et qui devient, au fil des chapitres, littéralement captivante pour plonger le lecteur dans un véritable polar politique.

Première de couverture de Le Baron de la disette, un roman de fiction basé sur un fait réel, de Louis-Jean Teugir

Le Baron de la disette

Auteur : Louis-Jean Teugir
Date de sortie : 15 novembre 2019
275 pages – ISBN : 9781708598891
Prix : 20 euros


Résumé du Baron de la Disette : une intrigue captivante

Dans ce roman, inspiré d’un fait réel, l’auteur met en scène un héritier, Octave Bradier, pendant une période électorale. Un généalogiste l’a révélé. Mais, le successible s’intéresse de près à l’histoire du défunt, Bernard Buchel. Celui-ci, issu d’une famille modeste, a été sacristain aux mœurs discutées. Attaqué pour l’argent qu’il n’a pas, sa maison sera incendiée ainsi que ses petits chats. Cet incendie changera le résultat des élections. Non seulement au niveau local, mais aussi national ! Et la publicité autour de ce fait divers favorisera le parti le plus sécuritaire.
Alors, on y voit un fait politique. Conséquence, un adjoint au maire est dans le viseur. Puis, un cercle infernal se met en place. Les journaux locaux s’en emparent. Et aussi, les nationaux, les radios et même les télévisions ! C’est un vrai scandale. Dès lors, le résultat des élections bascule vers le tout sécuritaire.
Par solidarité, les gens se cotisent pour reconstruire une maison. Même une association est créée. Egalement, la municipalité met la main à la poche. Dès la fin de la construction, le miséreux devient Baron, un Baron sans le sou, le Baron de la disette.
Au gré des déplacements entre la Charente et la Loire, Octave Bradier écoute de la musique classique. L’héritier découvrira la pauvre existence et les tourments de Bernard Buchel, surnommé le Baron de la disette. Qui a commandité ce feu qui a modifié le résultat des élections et pour quelle raison ?
Octave Bradier, héritera-t-il ?

Le Baron de la Disette en quelques citations …

« Octave Bradier reste une nuit de plus, dans cette jolie ville ligérienne. Il ne cesse de se retourner dans son lit. Les derniers événements le perturbent. Ce n’est pas son domaine. Après une vie passée à vendre des instruments de musique comme intermédiaire, il demeure étranger à toutes ces tracasseries. Il aime être toujours entouré de belles choses et de beaux sons. Les personnes qu’il rencontre dans l’exercice de sa profession ne sont pas stressées. Les seules décisions tragiques à prendre concernent la question de savoir si le « sol dièse » ou le « la bémol » donne la même tonalité. Car les comas changent tout. Les violonistes arrivent à entendre la différence dans ce qu’ils appellent la justesse absolue. La musique passionne toujours autant Octave. Il lui arrive de rentrer avec plaisir chez lui dans la journée pour écouter fortissimo une symphonie de Beethoven ou un concerto de Rachmaninov ».

« Il habitait chez sa mère, désormais veuve. Malgré sa jeunesse et la petitesse de son salaire, il arrivait à mettre quelques centimes de côté chaque mois. Il lui vouait un véritable amour. Alors, sur un terrain qui provenait d’une succession échue à celle-ci, il entreprit de construire de ses mains un pavillon dans les années 1955-1960 pour les loger tous les deux. Bien sûr, ce n’était pas un palace, mais plutôt une bicoque de bois et de béton laissée ensuite sans entretien, de sorte qu’au fil des années elle était devenue un gourbi insalubre. Une cuisine, une pièce de séjour et deux chambres constituaient l’intégralité de cette bâtisse toute simple et sans confort. Cependant, tous les deux y vécurent des moments heureux, malgré le handicap de sa mère. Elle souffrait de paralysie des jambes, ce qui la faisait claudiquer. Et ce handicap ne s’arrangeait pas au fur et à mesure des années ».

« Certaines soirées, il restait seul caressant ses chats, ses chiens, ses poules et parfois même ses souris et ses rats. J’exagère peut-être un peu quand même. Les chats et les chiens, c’est sûr. Les autres animaux, je pousse trop loin ».

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Parution : L’Automne 1870 en Beauce – Des familles en souffranceDECOUVRIR ICI