Longtemps absent des librairies, AUGUSTIN, MA bataille de Loigny vient d’être réédité aux éditions BoD, avec le label Carolus. En voici, un résumé. Vous pourrez vous le procurer sur ce site en livre papier

AUGUSTIN, MA bataille de Loigny

de Jean-Louis Riguet

Augustin, ma bataille de Loigny, première de couverture de la réédition par BoD pour le label Carolus sélection

Première de couverture de AUGUSTIN, MA bataille de Loigny

Un récit historique poignant, ma bataille de Loigny, Augustin l’a vécue

Cette bataille s’est déroulée en décembre 1870 à Loigny la Bataille et elle a été meurtrière. Ainsi, elle opposait l’armée de la Loire avec les Zouaves Pontificaux aux Bavarois et Prussiens. Le château de Villeprévost tout proche a été transformé en hôpital de campagne, après avoir vu quelques décennies plus tôt l’instruction du procès des Chauffeurs d’Orgères par le juge Fougeron, son propriétaire.

Hélas, une bataille qui, en dehors de la boucherie constatée, n’aura servi à rien puisque les positions du soir seront les mêmes que celles du matin.

Ainsi, l’histoire d’Augustin dans sa bataille de Loigny permet de revivre cette bataille meurtrière.

Le Musée de la guerre à Loigny-la-Bataille en témoigne.

Pour l’acheter en papier sur ce site

En livre papier

AUGUSTIN, MA bataille de Loigny

Réédité, en voici les caractéristiques :

Titre du livre : AUGUSTIN, MA bataille de Loigny
Auteur : Jean-Louis RIGUET
Date de la réédition : 2019
Editeur : BoD – Books on demand, 12/14 rond-point des Champs-Elysées, 75008 Paris
Collection : Carolus docu-fiction,
Nombre de pages : 232
Prix : 15 euros
Numéro ISBN : 9 782322 151967

En e-book

L’e-book détient les mêmes caractéristiques que le livre papier sauf :
ISBN  9 782322 154289
Prix de vente : 4.99 €
Livre disponible chez BoD, Fnac, Amazon, IBooks, Kobo et toutes les librairies physique ou en ligne.


Présentation de ce récit, Augustin ma bataille de Loigny

1870. La guerre franco-prussienne fait rage. Loigny la Bataille est le théâtre d’une bataille meurtrière. Le Château de Villeprévost, tout proche, est transformé par les Bavarois, en hôpital de campagne. A Loigny, l’armée de la Loire et les Zouaves pontificaux se battent. Avancer et ne pas reculer, mourir s’il le faut. Augustin, l’ancien régisseur, organise dans l’angoisse la défense.

Augustin ma bataille de Loigny, par BoD pour Carolus sélection

Augustin ma bataille de Loigny

AUGUSTIN, MA bataille de Loigny
PREFACE d’Hervé FOUGERON

 C’est avec grand plaisir que je vous fais part de ma réaction tout à fait admirative devant le manuscrit que vous m’avez si obligeamment adressé.

L’Histoire, dont vous décrivez un épisode avec une précision d’une impressionnante richesse, a écrit en effet en ces lieux l’une des pages les plus sanglantes et les plus héroïques du XIXème siècle finissant. La cérémonie annuelle de commémoration, émouvante par sa fidélité autant que par sa simplicité, habituellement tenue dans les conditions météorologiques assez exécrables que le vent de la plaine en décembre a coutume d’accentuer, nous permet d’imaginer les efforts et la souffrance endurés par les combattants des deux fronts.

« Villeprévost ne se trouve à vol d’oiseau qu’à deux kilomètres du champ de bataille.”

Ainsi, Villeprévost, où vous situez votre nouvelle, ne se trouve à vol d’oiseau qu’à deux kilomètres du champ de bataille. Il s’agit d’une gentilhommière, agrandie et modifiée au siècle précédent, lieu de villégiature estivale d’une famille originaire de Tillay, que la charge de Conseiller du Roi au Châtelet d’Orléans au XVIIIème siècle retenait la plus grande partie de l’année dans cette ville. Les événements que vous relatez l’avaient transformée durant quelques semaines en hôpital de campagne de l’Armée bavaroise.

Emile Fougeron a laissé le souvenir d’un homme de devoir

Il se trouve que le propriétaire de l’époque était mon arrière-arrière grand-oncle Émile Fougeron, marié mais mort sans postérité. Ce dernier était effectivement très bon et généreux pour tous ceux qui avaient une raison de le côtoyer ; on rapporte même que les employés des Chemins de Fer d’Orléans et d’Orgères en Beauce l’appréciaient particulièrement pour la largesse avec laquelle il distribuait ses cigares lorsqu’ils attelaient son wagon personnel… Ce qui est certain, c’est qu’il a laissé le souvenir d’un homme de devoir dont la fortune n’avait pas altéré l’abord avenant et ouvert. Son épouse, Marie-Amélie, était d’une santé fragile et ne partageait pas de ce fait l’intrépidité que vous attribuez à son mari dans votre récit.

La vie menée par mes aïeux dans cette maison que j’habite aujourd’hui avec bonheur était, en dehors de la période ténébreuse que vous évoquez, et à en croire les récits et souvenirs familiaux, emplie de la paisible agitation d’une grande maison vivant en quasi-autarcie. Après la fin de la guerre de 70 et la construction de la chapelle érigée en action de grâce, elle était rythmée, durant ma jeunesse, par la cloche appelant le hameau à la prière du soir. L’aisance financière de mes aïeux leur permettait de recevoir avec facilité et leur foi profonde les rendait proches du clergé dont les représentants prenaient souvent place à leur table, d’où les fréquents séjours des évêques d’Orléans ou de Chartres à Villeprévost.

“La vérité de l’environnement social et historique me semble parfaitement restituée

La piété ambiante de l’époque et le respect réciproque entre personnes de conditions sociales différentes qui imprégnait manifestement alors les rapports humains dans cette petite communauté de Villeprévost, contribuaient certainement comme vous le décrivez, à maintenir une relation paisible et confiante entre ses habitants.

C’est pourquoi, si le récit n’apparaît, dans la nouvelle ou le roman, qu’au prix de quelques entorses à la réalité de certains faits, la vérité de l’environnement social et historique de votre récit me semble parfaitement restituée.

Ainsi, c’est donc à la fois avec gratitude et amusement que j’ai pris grand plaisir à cette lecture, en témoin captivé par le romanesque d’un récit en un lieu et en un temps qui me sont familiers.

Villeprévost, 25 février 2012, Hervé Fougeron

L’acheter https://librebonimenteur.net/e65s
Vous pouvez lire un extrait : https://librebonimenteur.net/ihj9

Le livre a été traduit en anglais dans sa première édition aux éditions Dédicaces, il est épuisé.

AUGUSTIN my battle of Loigny

Traduction anglaise, couverture augustin
Traduction anglaise, couverture augustin

© Jean-Louis Riguet librebonimenteur.net Mars 2019

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Parution : L’Automne 1870 en Beauce – Des familles en souffranceDECOUVRIR ICI

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