Une chronique en 3 articles sur l’écriture des livres jeunesse
1/3 : “Le livre jeunesse, c’est difficile !”
Oui, le livre pour enfants et la jeunesse c’est difficile. C’est un univers à part, avec ses codes.
Cette écriture n’est pas très vieille. Elle date du XIXe siècle, mais elle a acquis sa noblesse un siècle plus tard.
Au début, les fables avec nombre de métaphores dominent. Elles servent à inculquer la morale.
Aujourd’hui, les enfants ont droit à une littérature développée avec des maisons d’édition spécialisées.
Ce marché représente environ un quart des livres achetés en France. C’est environ 84 millions d’exemplaires vendus par an, avec en premier les albums illustrés, les romans pour les 8-12 ans et les B.D. contemporaines.
C’est colossal.
Nombre de maisons d’éditions sont spécialisées dans la jeunesse, avec des incontournables comme Gallimard, Seuil, Flammarion, Hachette Romans, Bayard. Mais aussi d’autres maisons à connaître ; ainsi en est-il de Auzou, L’école des Loisirs, Éditions Gründ, Éditions Milan, Fleurus, Gautier Langereau, Nathan, Rageot, Scrinéo, Talents Hauts.
J’aimerais bien que mon petit-fils, Gabriel, qui n’a pas trois ans, mais qui adore les livres, puisse un jour lire un roman « jeunesse » écrit par son grand-père.
Mais, voilà, il faudrait que je m’y attelle.
Pourtant, je pense qu’un roman « jeunesse historique » pourrait trouver son idée dans l’un de mes livres :
Comme les Récits Historiques de l’Orléanais publiés aux éditions du Jeu de l’Oie et en vente sur ce site, sur celui de l’éditeur et à la Librairie Nouvelle à Orléans.
Pour en savoir plus sur comment écrire un livre, cliquez ici
Merci de votre attention. C’est un privilège pour moi.
Le 5 août 2022
© Jean-Louis Riguet, sociétaire de la Société des Gens de Lettres.
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